Livres et vidéos utiles 


De tous les livres qui existent sur «nos sujets», je n'ai, bien sûr, lu qu'une petite partie. Et je n'en énumère que quelques-uns ici. Chacun a ses points forts et ses points faibles, c'est normal. Mais ils sont tous propices à élargir et à consolider notre compréhension de la vie après la mort et de la réincarnation. Comme par exemple, le livre pour enfants suivant:



Sabrina Fox: «Le tout petit ange t’aide à dire adieu» (“Der klitzekleine Engel hilft beim Abschied”)

Dans une famille avec un père, une mère et une petite fille il y a, depuis des années, un chat noir qui est très vieux maintenant et qui ne veut plus rien manger. Il faut s'attendre à ce qu'il meure bientôt. Le tout petit ange a la mission de se rendre chez la famille pour aider à rendre l'adieu plus facile. 

Le livre contient de très belles images touchantes qui me semblent utiles et appropriées pour donner à un enfant une première compréhension de la mort. C'est merveilleux de voir comment le chat continue à vivre après sa mort. J'aime aussi le texte.



Francisco Candido Xavier: «Message d’un garçon du monde des esprits - Le Grand Voyage» („Botschaft eines Jungen aus der geistigen Welt - Die große Reise“) dictée par l’être spirituel Neio Lucio

J'ai déjà écrit sur la genèse de ce livre dans le chapitre «Une lettre de l'au-delà». Je pense qu'il convient aux enfants plus âgés, surtout lorsqu'ils se voient confrontés, dans leur entourage ou leur famille, à une situation dans laquelle il faut parler de la mort. C'est un petit livre illustré et facile à lire.



Joy Snell: «Le service des anges» („Der Dienst der Engel“) – Expériences d'une infirmière au chevet des malades et des mourants

J'ai déjà lu au moins cinq fois ce petit livre bon marché. Il a été écrit il y a plus de cent ans, et on peut encore l'acheter sans problème aujourd'hui. C'est étonnant. Je trouve que son style est tellement sincère et modeste. Il est facile à lire, à l'exception des dix dernières pages qui dépassent un peu notre capacité d'imagination. J'ai écrit un peu plus sur ce petit livre dans le chapitre «Quand une personne part».

Outre les observations qu'elle a faites pendant son travail, Joy Snell décrit également ce qu'elle a vu et vécu lors de nombreuses «excursions» dans le monde spirituel. En effet, il lui était souvent donné, en tant qu'âme, d'être prise en charge la nuit par des êtres angéliques et de pouvoir jeter un coup d'œil dans «l'autre monde». Ce qu'elle a vu et partagé avec le lecteur me touche toujours à nouveau. 



Penny Sartori «La mort imminente - des expériences qui peuvent nous faire entamer une nouvelle vie. Ce qui compte vraiment dans la vie.» („Nahtod–Erfahrungen als Neuanfang. Was wirklich wichtig ist im Leben“)

Ce livre est la thèse de doctorat d'une infirmière anglaise. Ayant parlé à des centaines de patients qui ont vécu des expériences de mort imminente, elle est l’experte principale en matière de mort imminente en Grande-Bretagne. 

Penny Sartori s'est particulièrement penchée sur l'impact que les expériences de mort imminente ont eu sur les gens, c'est-à-dire sur la manière dont cette expérience décisive a changé leur attitude face à la vie et souvent leur vie entière. Le livre est volumineux et sa lecture est un peu exigeante.

Les nombreuses interviews que l'on peut regarder et écouter sur Internet sont, à mon avis, nettement plus faciles à digérer. Il semble qu'il y ait beaucoup de gens qui brûlent de raconter à leur entourage ce qu'ils ont vécu lorsqu'ils étaient cliniquement morts. On tape:

Expérience de mort imminente youtube, et voilà que quelqu'un vous raconte ce qu'il ou elle a vécu pendant ces minutes entre la vie et la mort.



Paul Meek: «Le ciel est tout près de nous» („Der Himmel ist nur einen Schritt entfernt“)

J'ai déjà parlé beaucoup de Paul Meek dans le chapitre «Un garçon du Pays de Galles». Celui-ci est son premier livre de quatre en total. Paul Meek y raconte son enfance, la découverte et le développement de son don de la médiumnité. Il donne également des informations détaillées sur ce qui s'enseigne dans l'«Église spiritualiste» ("Spiritualist Church") britannique. Certaines choses sont un peu inhabituelles pour nous, mais on arrive tout de même à suivre cet homme humble et plein d'humour. Si l'on veut le voir, il suffit de taper sur Internet:


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Quand des BÉBÉS ou des PETITS ENFANTS meurent, il est possible que c’était le plan dès le début que leur vie soit courte. Ils sont pris en charge dans des foyers pour enfants de l'au-delà, où l'on s'occupe d'eux avec amour, où l'on les élève et les éduque. Ils vont aussi à l'école. Ou alors, ils naissent à nouveau dans une famille après très peu de temps, parfois dans la même famille où ils étaient auparavant.


Paul Meek youtube, et on peut le voir dans son travail de médium devant un groupe ou dans ses interviews. 



Beatrice Brunner: «Ce qui nous attend» („Was uns erwartet“)

Ce petit livre a été réalisé au sein de la Loge Spirituelle de Zurich. La Loge Spirituelle de Zurich se désigne comme une communauté chrétienne spirituelle. De 1948 à 1983, le médium Beatrice Brunner, très compétente, en était le centre, et c'est par elle que deux enseignants du monde spirituel se sont fait entendre. Mais il arrivait aussi que des personnes décédées parlaient de ce qu'elles avaient vécu après leur mort. Ce livre se compose de douze de ces témoignages. Par exemple: 

«Je m'appelle Katrin. Je suis morte avec ma petite fille dans un accident de voiture, et maintenant je raconte la suite de ma vie depuis le monde spirituel...»

La plupart de ce livre est facile à lire.



Estelle Stead: «L’île bleue, un coup d’oeil dans la vie dans l’au-delà» („Die blaue Insel, ein Blick in das Leben im Jenseits“)

C'est le livre qui a été écrit en 1912 après le naufrage du «Titanic». Le journaliste T. W. Stead, qui a perdu la vie lors dudit naufrage, l'a transmis à sa fille médium, Estelle, après son passage dans l'au-delà. 

Il ne raconte pas les événements du naufrage du navire de luxe (il existe de nombreux récits et au moins un film à ce sujet), mais dans son texte, Stead décrit ce qu'il a vécu immédiatement après sa mort, avec les nombreuses autres personnes décédées, les observations et les expériences qu'il a pu faire après, dans l'au-delà, et les conclusions auxquelles il a pu parvenir. Ce livre de poche est relativement facile à lire.



Beat Imhof: «Sur la Terre comme au ciel. Comme la vie en tant qu’homme détermine la vie dans l’au-delà.» („Wie auf Erden so im Himmel. Wie das Leben als Mensch das Leben im Jenseits bestimmt“)

Le psychologue suisse Beat Imhof (né en 1929) dit de lui-même dans une vidéo qu'il a passé sa vie à chercher et à faire des recherches sur le sujet de la mort et sur «ce qui se passe après». Dans cet ouvrage volumineux, il a résumé les résultats de ses recherches, étayés par d'innombrables citations, preuves et références bibliographiques. Il s'agit d'un travail scientifique, parfois difficile à lire.

Dans la première partie de son livre «L'autre réalité», il se penche en long et en large sur des questions philosophiques, psychologiques, théologiques et historiques dans le contexte de la mort et de ce qui nous attend après. 

Il a intitulé la deuxième partie «Perspectives dans l'au-delà». Et là, il décrit très clairement - et c'est probablement le plus important pour la plupart d'entre nous - où en est aujourd'hui la «recherche sur l'au-delà», c'est-à-dire ce que l'on peut dire aujourd'hui sur la mort et sur la vie dans l'au-delà. 

J'aime écouter cet homme très âgé parler de ses connaissances: calmement, de manière réfléchie et énergique. Il me vient à l'esprit qu'il veut sûrement profiter du temps qui lui reste pour rendre un service précieux à ses prochains avant qu'il parte. C'est pourquoi, à un âge avancé, il a encore publié une série de livres remarquables. Tu peux le voir et l'entendre sur Internet en tapant: Beat Imhof youtube



Francisco Candido Xavier: «Notre chez-nous. La vie dans le monde spirituel» („Unser Heim. Das Leben in der spirituellen Welt“) – Une description de la vie à venir par l’être spirituel André Luiz.

Ce livre a été écrit de la même manière que «Message d'un garçon du monde spirituel». Il a donc été réalisé par voie médiumnique, par le médium d'écriture brésilien Xavier. Il est sorti au Brésil en 1944, et on l'a traduit en allemand en 2008.

Son auteur est l'ancien médecin brésilien André Luiz. Depuis l'au-delà, il décrit, par l'intermédiaire du médium Xavier, comment sa vie a continué après sa mort. 

Il confesse que, pendant sa vie terrestre, il a souvent négligé et même risqué sa santé et qu'il avait en même temps mené une vie dépourvue d'amour, impie et égoïste. Après être mort pendant une opération, il se retrouve dans un environnement sombre, marécageux et effrayant, parmi des personnes et des monstres encore pires que lui, qui le terrifient. C'est là qu'il se souvient combien sa famille était aimable et à quel point il a vécu de manière inconsidérée et superficielle. 

André doit passer un temps considérable dans cette obscurité, jusqu'à ce que des êtres lumineux et aimants l'en sortent enfin et l'amènent dans un monde lumineux, propre et bien ordonné. C'est la colonie spirituelle «Nosso Lar», en français «Notre chez-nous». 

Là-bas, on le soigne avec sollicitude, il guérit et il apprend à devenir humble et à s'intégrer dans l'ordre des choses.

Dans ce livre, Nosso Lar est une ville «astrale» (de matière subtile, pas physique), proche de la Terre, qui accueille les âmes venant de la Terre (tout juste libérées par la mort), les réconforte, les soigne, les nourrit et les aide à initier leur processus de connaissance. - Après quelque temps, André se rétablit, traverse des processus d'apprentissage importants et parfois douloureux, et il peut bientôt se rendre utile et plus tard il travaille même comme médecin.



Une expérience de mort imminente: une personne âgée raconte qu'elle était cliniquement morte en 2002 à la suite d'un accident vasculaire cérébral, qu'elle est alors passée par ce «tunnel» vers la lumière («C'était tellement beau là-bas!») et que sa mère décédée l'a renvoyée.




Ce livre nous apprend que dans une telle sphère spirituelle proche de la Terre, les choses se passent un peu comme elles devraient idéalement se passer ici sur Terre: Vivre ensemble, cela suit un certain ordre, on travaille assidûment, on s'entraide de manière bien réfléchie et on se soutient mutuellement avec beaucoup d'amour et de patience. On se sert les uns les autres, on se comprend et on veille à ce que tout le monde et tout aille bien.

Le livre a fait l'objet d'un film que l'on peut acheter sur DVD. On peut aussi le regarder gratuitement sur Internet en tapant le mot-clé «Astral City Youtube», entrecoupé de publicités. Ne t'effraie pas! Le début du film, les cinq premières minutes, sont en fait un peu effrayantes, un peu exagérées, à mon avis. Mais ce film peut vraiment visualiser le savoir de la survie dans l'au-delà. En tout cas, il m'a impressionné.



K. O. Schmidt: «Retournez, enfants des hommes» („Kehret wieder, Menschenkinder“. Réincarnation et karma d’un point de vue chrétien. 

K. O. Schmidt (1904-1977) était un auteur et un conseiller de vie, avec beaucoup de succès dans les deux domaines. Dans ce petit livre, il explique, en partie de manière «didactique», comment la compréhension de la réincarnation peut nous être utile. Le récit de la petite Birmane fait partie de ce livre.



Ian Stevenson: «La réincarnation en Europe. Des cas documentés» („Reinkarnation in Europa. Dokumentierte Fälle“)


Ian Stevenson (1918-2007) était un psychiatre canadien et est considéré comme le cofondateur de la recherche sur la réincarnation. Dans son livre volumineux, il a documenté des cas dans lesquels la réincarnation de certaines personnes a pu être prouvée clairement. Et il a écrit sur d'autres cas dans lesquels l'idée de la réincarnation tombait pour le moins sous le sens. Ses recherches étaient souvent longues, toujours très minutieuses et motivées par le désir de découvrir la vérité. 

Ce livre est très intéressant, mais peut aussi être fatigant parce qu'il est très volumineux. 



Wayne W. Dyer: «Souvenirs du ciel» („Erinnerungen an den Himmel“)


Wayne Dyer (1940-2015) était un psychologue et un auteur et conférencier américain à succès spécialisé dans le coaching. Il était père de huit enfants. Il était fasciné par les enfants, surtout lorsqu'ils étaient encore petits. Il s'était alors consacré à eux avec dévouement. Il les avait écoutés attentivement et était arrivé à la conclusion qu'ils en savaient plus que nous, les adultes: Ils se souviennent encore du temps avant leur naissance. Quand ils étaient encore «au ciel». 

Et il a découvert que quelques petits enfants peuvent soudainement en parler. Comme si le voile de l'oubli se levait l'espace d'un instant et qu'ils pouvaient voir très clairement d'où ils viennent. Leurs parents ne peuvent pas toujours comprendre la signification de leurs paroles, car ils ne peuvent pas s'imaginer de vie avant la naissance. Mais Wayne Dyer lui-même a compris, en écoutant ces enfants, qu'il devait y avoir plus que cette courte vie. 

Il paraît qu'il en parlait dans ses conférences, car il recevait des milliers de lettres du monde entier à ce sujet. Des parents lui ont écrit pour lui faire part de leurs observations et de leurs expériences avec leurs petits enfants, et c'est sur la base de ces lettres qu'il a finalement écrit ce livre. Il est facile à lire. Je le trouve bon et je pense qu'il peut contribuer à ce que l'idée de la réincarnation devienne de plus en plus naturelle pour nous.



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«Oh mon Dieu, c'est mon village, Thomas!

J'ai vécu ici ! Tout m'est si familier!

Comme si je rentrais chez moi.

Regarde! C'était ma maison, Thomas!

Derrière elle, un ruisseau coule, l'Enns. Combien de fois y ai-je lavé le linge! C'est dans cette église, là-haut, que je me suis mariée...».


Ce que la femme vit ici s'appelle une expérience de «déjà-vu». On vient dans une région que l'on connaît d'une vie antérieure.






Beat Imhof: «Pourquoi nous vivons plus d’une fois sur Terre» („Warum wir mehr als einmal auf Erden leben“) – Comment l’âme mûrit grâce à la réincarnation


Beat Imhof est d'avis que l'on ne peut pas répondre aux grandes questions existentielles en laissant de côté l'idée de la réincarnation. C'est pourquoi, à l'âge de 91 ans, il a publié un livre sur le sujet de la renaissance et de la réincarnation. Comme dans tous les livres que je connais, il entre dans les détails et se plonge avec sa minutie habituelle dans l'histoire, la philosophie, la théologie et la littérature, présentant une quantité énorme de citations et de preuves. Je ne peux que recommander ce livre à un lecteur patient, disposé à prendre le temps d'en comprendre davantage sur la réincarnation.



Jenny Cockell: «Souvenirs immortels» („Unsterbliche Erinnerungen“)


Bien que ce livre d'une Anglaise soit actuellement épuisé dans sa version allemande, tout comme le film qu'on a tourné sur le sujet, je l'ajoute à cette liste, car il contient une histoire de réincarnation vraiment particulière. J'ai eu l'occasion d'écouter Jenny Cockell dans une vidéo sur Internet.

Née en 1953, elle a raconté que, depuis son enfance, elle avait de vifs souvenirs d'une vie antérieure en Irlande, où elle s'appelait «Mary». Enfant, elle a également dessiné des cartes routières du village dans lequel elle pensait avoir vécu. Elle vivait clairement les joies et les chagrins de cette Mary et pensait finalement qu'elle avait dû être elle-même cette femme, mariée à un alcoolique et mère de huit enfants, et qu'elle était morte des complications de son huitième accouchement dans un hôpital. Elle ressentait toujours à nouveau la douleur de devoir abandonner ses enfants.

En 1989, quand elle avait 35 ans, son désir d'aller au fond des choses et de revoir ses enfants de l'époque devint de plus en plus fort. Elle se procura des cartes d'Irlande et finit par trouver «son village», qui s'appelait Malahide. Il avait en effet le même plan que les dessins qu'elle avait faits dans son enfance. 

Enfin, elle voyagea en Irlande, elle arriva dans le village et le reconnut immédiatement. Elle trouva aussi facilement «sa» maison, qui était complètement délabrée. Une famille du nom de Sutton y avait habité, disait-on. Dans les papiers de l'église, on découvrit qu'en février 1933, une certaine Mary Sutton fut en effet morte après la naissance de son huitième enfant. Après, les enfants furent accueillis dans des foyers et des familles.

Elle a réussit à contacter son «ancien fils aîné» au téléphone, Sonny, qui était maintenant un vieil homme. Il avait 13 ans lorsqu’elle s’éteignit. Ils ont en effet pu engager une conversation et ont réussi, lors d'autres coups de téléphone, à échanger des souvenirs communs de «l'époque». L'un commençait à raconter un événement particulier et l'autre pouvait continuer à raconter l'histoire. C'est ainsi que Sonny, le fils de Mary, est très vite arrivé à la conclusion que cette femme de 35 ans était en fait sa mère défunte. 

On rechercha les autres frères et soeurs, et on réussit à en retrouver encore quatre. Trois autres ne vivaient plus. Les frères et sœurs ne s'étaient plus jamais revus après la mort de leur mère en 1933 et devaient maintenant faire connaissance des autres encore une fois en tant que personnes âgées. Seul Sonny, l'aîné, a pu accepter très rapidement l'idée de la réincarnation et le fait qu'il s'agissait de sa mère réincarnée. Les autres avaient apparemment plus de mal à l'accepter.

Tu peux trouver l'interview dont je parle ici en tapant sur Internet: Jenny Cockell youtube

Pour pouvoir en lire, il faut taper:
Réincarnation – La renaissance de Jenny Cockell


Cher lecteur, tu te demandes sans doute pourquoi il y a des gens qui se souviennent si précisément d'une vie antérieure! A quoi bon!?

Je ne connais qu'une seule réponse à cette question: pour qu'ils comprennent que la vie continue et, surtout, pour qu'ils le répètent à leurs semblables. Pour que ce savoir sur la renaissance se répande parmi les hommes! C'est leur mission de le faire savoir aux gens et de contribuer ainsi à la compréhension du fait que nous, les hommes, ne sommes pas des «éphémères». Que nous commencions à nous voir nous-mêmes et nos semblables dans le grand contexte de nombreuses vies terrestres

Nous devons aussi apprendre à voir plus que nos besoins du moment et que nos biens. Nous devons apprendre à voir plus loin, car nous avons un passé lointain et un avenir infini.

*

Je me souviens d'un très bon mot de l'auteur de livres Beat Imhof (cité d'une interview, en substance):



Nous sommes des citoyens du monde spirituel. 
Nous vivons ici sur Terre
avec un permis de séjour limité dans le temps. 
Lorsque notre temps est passé, nous retournons dans notre patrie.


Cher lecteur, je trouve que ce sont vraiment de bonnes pensées. Me sentir citoyenne du monde spirituel - temporairement ici sur Terre - cela me plaît.

Cela me rappelle quelqu'un qui, il y a deux mille ans, a vécu sur notre Terre en disant:

«Mon royaume n’est pas d’ici-bas …»

C'était Jésus qui, tout en étant un homme, n'avait jamais eu d'objectifs ou d'aspirations terrestres.

Si nous pouvons nous imaginer cela de temps en temps: Nous ne sommes ici que pour un temps limité, et notre véritable patrie est «là-haut», dans le monde spirituel, nous savons nous y prendre avec le changement climatique, les pandémies, les catastrophes et avec tout ce qui nous arrive personnellement, avec plus de sérénité.

*

Maintenant, je te dis au revoir, cher lecteur. Que tu sois bien avec tout ce que tu as appris ici avec moi, mais aussi avec ce que tu n'as pas pu ou voulu comprendre ou accepter.

Et donne-moi un coup de fil si tu en as envie. Cela me ferait plaisir. Tu trouveras mon numéro de téléphone à la dernière page. 

Erdmute Tannhäuser 




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